Présentation de la Tourterelle orientale (Streptopelia orientalis)

Longueur : 30 – 35 cm

Envergure : 54 – 62 cm

Description :  la Tourterelle orientale est très proche de celui de la Tourterelle des bois (Streptopelia turtur), mais il en diffère notamment par sa taille légèrement plus grande (+ 15 % environ). L’adulte se distingue par ses couvertures et ses scapulaires ocre-brun et non pas orange-roux et au centre sombre plus large et plus diffus. La Tourterelle orientale a aussi tendance à présenter deux étroites barres alaires pâles le long des grandes et moyennes couvertures alaires, et la zone gris-bleuté du dessus de ses ailes est plus sombre.
Sa poitrine est gris-rose et plus sombre. Son croupion est d’un gris-bleu plus sombre. Elle présente une étroite zone de peau nue autour des yeux, alors que celle-ci est plus étendue chez la Tourterelle des bois.
Le juvénile de la Tourterelle orientale ressemble à l’adulte, mais il ne présente pas de motifs striés noir et blanc sur les côtés de son cou, son plumage est plus terne, le centre des petites et des grandes couvertures alaires est grisâtre et non pas noir, et les plumes des scapulaires et des couvertures sont largement bordées de clair. Le juvénile de la Tourterelle des bois est plus clair que celui de la Tourterelle orientale. Le plumage adulte est acquis au cours du premier hiver. 
Le vol de la Tourterelle orientale est plus lent et plus direct que celui de la Tourterelle des bois.

 Tourterelle orientale (Streptopelia orientalis meena) adulte

Tourterelle orientale (Streptopelia orientalis meena) adulte à Monflanquin (Lot-et-Garonne) en mars 2012. Notez (1) ses yeux non entourés d’une large zone de peau nue, (2) les scapulaires et les couvertures brun-roux au large centre noir, (3) la fine double barre alaire claire le long des couvertures moyennes et grandes et (4) le ventre beige grisâtre et non pas blanc. Sa silhouette « dodue » est aussi visible sur cette photo.
Photographie : David Lambottin

Tourterelle orientale (Streptopelia orientalis) de première année

Tourterelle orientale (Streptopelia orientalis meena) de première année près de Montreuil-Bellay (Maine-et-Loire) le 18 décembre 2025. Notez (1) l’absence de motif strié sur les côtés du cou, (2) les plumes du dessus des ailes bordées de pâle, (3) le ventre gris-beige et (4) l’extrémité blanche de la queue, un critère typique de la sous-espèce S. o. meena.
Photographie : Benoît Duchenne

Voix : son chant est différent de celui de la Tourterelle des bois. C’est un roucoulement qui rappelle un peu celui du Pigeon ramier (Columba palumbus), étouffé et irrégulier, que l’on pourrait retranscrire par « kruuu, ku-kruuu, Ooh ».

Écoutez ci-dessous un enregistrement du chant de la Tourterelle orientale réalisé par Patrick Franke au Kazakhstan le 8 mai 2011 (source : Xeno-Canto) :

Habitats : la femelle pond en moyenne deux œufs blancs, dans un nid de brindilles placé à faible hauteur (1 à 4 mètres) dans un arbre, un arbuste ou un buisson dans des habitats boisés variés et plus ou moins denses, des forêts montagnardes de conifères aux boisements le long des cours d’eau. En 2019, pour la première fois, un nid contenant deux petits a été trouvé dans une étable abandonnée dans le village de Novonikolsk (Russie). En 2022, cette tendance s’est confirmée, et neuf nids ont été trouvés sur des baraquements ou des hangars dans deux anciens camps militaires du district d’Oussouriisk (lire Premiers cas documentés de nidification de Tourterelles orientales sur des bâtiments).

Aire de répartition et taxonomie

Aire de répartition de la Tourterelle orientale

Aire de répartition de la Tourterelle orientale (toutes sous-espèces confondues). En rouge, les zones où l’espèce est migratrice, et en vert, celles où elle est sédentaire.
Carte : Ornithomedia.com

La Tourterelle orientale niche dans les zones boisées claires du sud-ouest de l’Oural à l’île de Sakhaline (Russie), au sud de l’Inde et à la péninsule indochinoise, jusqu’à 4 000 mètres d’altitude. Les populations les plus septentrionales sont migratrices et hivernent au sud de l’Himalaya, parfois jusqu’au Sri Lanka et au centre de la Thaïlande, alors qu’elles sont sédentaires dans les régions subtropicales et tropicales. Dans cette vaste aire de répartition, six sous-espèces sont actuellement reconnues, S. o. meena étant celle ayant l’aire de reproduction la plus occidentale :

  • S. o. meena : du sud-ouest de la Sibérie à l’Iran, Afghanistan, Cachemire et Népal.
  • S. o. orientalis : du centre de la Sibérie à la Chine, la Corée, le Japon et les îles Kouriles.
  • S. o. stimpsoni : îles Ryukyu (Japon).
  • S. o. orii : Taïwan.
  • S. o. erythrocephala : péninsule indienne.
  • S. o. agricola : du nord-est de l’Inde au Myanmar et au centre-ouest de la Chine (ouest du Yunnan et île de Hainan).

Les deux sous-espèces migratrices susceptibles d’arriver de façon accidentelle en Europe de l’Ouest sont S. o. meena dans les paysages du type « parc » (arbres dispersés) et S. o. orientalis, qui niche dans la taïga. Elles sont difficiles à distinguer l’une de l’autre de façon certaine : S. o. orientalis est un peu plus grande, l’extrémité de sa queue est souvent grise et non pas blanche (mais elle est aussi parfois très pâle), son ventre est plus sombre et les rectrices externes de sa queue présentent plus de noir (un critère également variable). L’aire de distribution plus occidentale de S. o. meena suggère toutefois que les Tourterelles orientales vues en Europe appartiennent plutôt à cette espèce, même si des individus de la sous-espèce orientalis sont également possibles.

Une espèce en expansion vers l’Ouest

On constate une lente progression vers l’Ouest de l’aire de reproduction de la Tourterelle orientale en provenance de ses sites de nidification sibériens. Par exemple, au cours des dernières années, elle a commencé à nicher dans les monts Ilmen, au sud des monts Oural (Russie), où sa population atteindrait plus de 20 000 couples, et elle se reproduit désormais dans les limites du paléarctique occidental (lire Qu’est-ce que le Paléarctique occidental ?).

Une espèce rare et accidentelle en Europe de l’Ouest

En dehors de la saison de nidification, des Tourterelles orientales originaires de Sibérie peuvent atteindre l’Europe, où c’est une espèce accidentelle très rare (voir une synthèse d’observations récentes en France), notée principalement en  automne et en hiver. Du fait des difficultés pour distinguer les Tourterelles orientale et des bois et de l’existence d’oiseaux échappés de captivité, seule une petite partie des données est  homologuée (quatre en France entre 1981 et 2021 selon le site web du Comité d’Homologation National). En 1994, le British Birds Rarities Committee avait rejeté trois des huit données britanniques de l’époque.

Des Tourterelles des bois en hiver en Europe !

 Tourterelle des bois (Streptopelia turtur) adulte

Tourterelle des bois (Streptopelia turtur) adulte à Saumur (Indre-et-Loire) le 26 février 2003. Notez (1) la zone étendue de peau nue autour des yeux et (2) les plumes orangées à centre sombre et pointu des scapulaires et des couvertures alaires.
Photographie : Alain Fossé / Digimages

Si l’observation en hiver d’une Tourterelle des bois doit alerter les observateurs, cette espèce passant normalement la mauvaise saison en Afrique, il ne faut pas écarter l’hypothèse que certains oiseaux décident de passer la mauvaise saison sur notre continent, les conditions devenant moins rudes avec le réchauffement climatique. Plusieurs individus ont par exemple été notés en hiver en Maine-et-Loire (source : comptes-rendus du Comité d’Homologation Départemental) :

  • un individu à Saumur du 19 février au 23 mars 2003 (A. Rousseaux, Fr. Noël et A. Fossé).
  • Un individu à Longué-Jumelles le 19 février 2006 (Chr. Dijeon).
  • Un individu à Fontevraud-l’Abbaye du 14 mars au 1er avril 2015 (S. Courant, S. Desgranges).
  • Un individu à la Vinaigrerie de Chaudron-en-Mauges du 3 février au 7 avril 2020 (passage prénuptial précoce possible) et un du 25 novembre au 30 mars 2020 (M. Lesca). 
  • Un individu chanteur à La Varenne du 22 février au 5 mars 2021 (J. Lemore).

Notons enfin l’initiative récente de créer une population sédentaire en Grande-Bretagne (lire Une intéressante tentative de création d’une population sédentaire de Tourterelles des bois en Grande-Bretagne).

Attention aux Tourterelles orientales échappées de captivité et à l’existence d’une population férale en Europe de l’Est

Plusieurs observateurs suggèrent que certaines données européennes de Tourterelles orientales pourraient concerner des oiseaux échappés de captivité en raison de leur comportement parfois peu farouche, de l’éloignement de leur aire de reproduction, des habitats fréquentés en Europe (souvent des jardins de banlieue) et de la période d’observation, souvent hivernale. L’espèce se reproduit bien en volière. 
Par ailleurs, on assiste depuis 2015 à la formation d’une population férale (= issue d’oiseaux échappés de captivité) en Tchéquie : en effet, des Tourterelles orientales sont observées chaque année dans le secteur des réservoirs de Nové Mlýny en Tchéquie (107 données jusqu’en octobre 2022), dont un groupe de trente oiseaux. La plupart des observations ont été faites entre octobre et mars, lorsque la Tourterelle des bois n’est pas présente en Europe centrale, et ces oiseaux sont probablement d’origine captive, certains étant munis de bagues posées par les éleveurs. En 2022, une reproduction dans la nature a été confirmée pour la première fois (lire Un possible début de formation d’une population férale de Tourterelles orientales en Tchéquie). Cette installation va ainsi encore compliquer l’homologation des Tourterelles orientales vues sur notre continent, leur origine sauvage devenant encore plus compliquée à prouver. 
Si la plupart des Tourterelles orientales vues en Europe sont sûrement des oiseaux sauvages, une origine captive ou férale ne peut être exclue de façon définitive. La sous-espèce (S. o. meena est la plus susceptible d’être notée en Europe), la période d’observation (l’automne et l’hiver sont des saisons plus « classiques » pour les observations en Europe), l’absence de bagues, un comportement farouche et l’absence d’éleveurs ou de collections dans le secteur peuvent permettre de suggérer plutôt une origine sauvage.

Les critères permettant de distinguer les Tourterelles des bois et orientale

Tourterelle des bois (Streptopelia turtur) adulte

Tourterelle des bois (Streptopelia turtur) mâle adulte. Notez la grande zone de peau nue autour des yeux.
Photographie : Javier Blasco-Zumeta 

Plusieurs critères peuvent être utiles pour identifier la Tourterelle orientale et la distinguer de la Tourterelle des bois : 

  • une taille sensiblement plus importante, proche de celle d’une Tourterelle turque (Streptopelia decaocto).
  • Une silhouette plus massive et plus dodue.
  • Un cou particulièrement long quand l’oiseau est en alerte. 
  • Un plumage globalement plus sombre.
  • Sa tête n’est pas plus claire que son dos, comme c’est le cas chez la Tourterelle des bois.
  • Une poitrine rose-gris et non pas de couleur chair.
  • Un dos d’un gris plus sombre et plus bleuté.
  • Un ventre gris-beige et non pas blanchâtre.
  • La zone gris-bleuté de ses ailes plus sombre et plus étroite.
  • Des scapulaires (plumes des épaules) et des couvertures alaires ocre brun et non pas orange-roux, avec un centre presque entièrement sombre, à forme arrondie et non pas pointue, et à la limite diffuse et non pas net et étroit, comme chez la Tourterelle des bois.
  • Deux fines barres alaires blanchâtres visibles quand l’oiseau est posé et en vol.
  • Les ailes sont un peu plus courtes (projection primaire plus courte).
  • Certains auteurs évoquent aussi les extrémités pâles plus visibles des couvertures primaires de la Tourterelle orientale.
ourterelle orientale (Streptopelia orientalis meena) adulte

Tourterelle orientale (Streptopelia orientalis meena) adulte à Monflanquin (Lot-et-Garonne) en mars 2012 : notez (1) l’extrémité blanche de la queue (critère d’identification de la sous-espèce meena), (2) les scapulaires et les couvertures brun-roux au large centre noir et (3) la fine double barre alaire claire le long des couvertures moyennes et grandes. Son allure est plus massive que celle d’une Tourterelle des bois.
Photographie : David Lambottin

Dessus des ailes des Tourterelles orientale (à gauche) et des bois adultes

Dessus des ailes des Tourterelles orientale (Streptopelia orientalis meena) (à gauche) et des bois (S. turtur) adultes. Notez (1) les scapulaires et les couvertures ocre-brun à brun-roux de la Tourterelle orientale, avec un large centre noir, et (2) les limites claires des couvertures moyennes et grandes de celle-ci, formant deux fines barres alaires.
Photographies : David Lambottin et Arthur Grosset

Tourterelles orientale (S. orientalis meena) (à gauche) et des bois (S. turtur) adultes

Tourterelles orientale (S. orientalis meena) (à gauche) et des bois (S. turtur) adultes. Notez (1) et (2) les couvertures et scapulaires brun-roux à ocre au centre noir et arrondi (et non pas pointu) et (3) la quasi-absence de peau nue autour des yeux.
Photographies : David Lambottin et Arthur Grosset

Dessus de l'aile de la Tourterelle des bois (S. turtur) adulte

Dessus de l’aile de la Tourterelle des bois (S. turtur) adulte. Notez (1) les scapulaires et les couvertures orange avec un centre noir nettement défini et à la forme pointue.
Photographie : Javier Blasco-Zumeta et Laboratorio Virtual Ibercaja

Tourterelle orientale (Streptopelia orientalis meena) adulte,

Tourterelle orientale (Streptopelia orientalis meena) adulte à Monflanquin (Lot-et-Garonne) en mars 2012. Notez (1) le dos gris sombre, à peu près de la même couleur que la nuque, (2) les scapulaires et des couvertures brun-roux au large centre noir, et (3) l’extrémité blanche de la queue, plaidant en faveur de la sous-espèce S. o. meena.
Photographie : David Lambottin

Tourterelle des bois (Streptopelia turtur) adulte

Tourterelle des bois (Streptopelia turtur) adulte en Grande-Bretagne en juin 2007. Notez (1) le dos un peu plus sombre que la nuque mais moins bleuté que celui de la Tourterelle orientale, et (2 ) les plumes du dessus des ailes orange à centre noir.
Photographie : Arthur Grosset

Tourterelles orientale (Streptopelia orientalis meena) (à gauche) et des bois (S. turtur) adultes. Notez le ventre plus sombre de la Tourterelle orientale, contrastant moins nettement avec la poitrine. 
Photographies : David Lambottin et Joël Bruezière

Tourterelles orientale (S. orientalis meena) et des bois (S. turtur) adultes

Tourterelles orientale (S. orientalis meena) (à gauche) et des bois (S. turtur) adultes. Notez la zone de peau nue plus large autour des yeux de la Tourterelle des bois.
Photographies : David Lambottin et Arthur Grosset

Observation d’une Tourterelle orientale adulte dans le Lot-et-Garonne en 2012

 Tourterelle orientale (Streptopelia orientalis meena)

Tourterelle orientale (Streptopelia orientalis meena) adulte à Monflanquin (Lot-et-Garonne) en mars 2012 : elle est plus sombre et plus massive qu’une Tourterelle des bois.
Photographie : David Lambottin

David Lambottin avait observé une Tourterelle orientale adulte se nourrissant dans une mangeoire dans  son jardin à Monflanquin (Lot-et-Garonne) en février et en mars 2012 (lire Observation et identification d’une Tourterelle orientale dans le Lot-et-Garonne en février 2012). Le fait qu’en hiver la Tourterelle des bois soit normalement absente d’Europe de l’Ouest avait d’abord attiré son attention. Il a noté sa grande taille, comparable à celles des Tourterelles turques également présentes, sa silhouette plus massive et son plumage plus sombre globalement qu’une Tourterelle des bois, ainsi que son vol plus lourd et plus rectiligne. Il avait aussi relevé sa poitrine gris-rosâtre, ses couvertures alaires au large centre sombre bordé de clair, son cou bleu et son œil orangé entouré d’un étroit contour de peau nue (plus large chez la Tourterelle des bois). L’extrémité blanche de sa queue, très visible en vol et quand l’oiseau est posé, plaidait plutôt en faveur de la sous-espèce S. o. meena.
Il y a deux ans, au même endroit, il pensait avoir déjà repéré cet oiseau, mais que son identification n’avait alors pas été validée car l’observation avait été très furtive. La Tourterelle orientale serait fidèle à ses sites d’hivernage, et un retour dans le même secteur d’une année sur l’autre est donc possible.  
Elle était assez farouche, davantage qu’une Tourterelle turque, et ne semblait pas « supporter » cette dernière espèce, la délogeait fréquemment sur la mangeoire. Elle était aussi beaucoup plus discrète.
L’observateur a également constaté que lorsqu’elle était posée et tranquille, elle avait souvent la queue pendante, alors que les Tourterelles turques tenaient plutôt leur queue à l’horizontale.

Tourterelle orientale (Streptopelia orientalis meena) (à droite) affrontant une Tourterelle turque (S. decaocto)

Tourterelle orientale (Streptopelia orientalis meena) (à droite) affrontant une Tourterelle turque (S. decaocto) à Monflanquin (Lot-et-Garonne) en mars 2012.
Photographie : David Lambottin

Tourterelle orientale (Streptopelia orientalis meena) et Tourterelle turque (S. decaocto)

Tourterelle orientale (Streptopelia orientalis meena) et Tourterelle turque (S. decaocto) à Monflanquin (Lot-et-Garonne) en mars 2012. Notez les tailles comparables et la double barre alaire pâle (1) de la Tourterelle orientale.
Photographie : David Lambottin

Découverte d’une Tourterelle orientale de première année en Maine-et-Loire en décembre 2025

La découverte d’une Tourterelle orientale de première année (pas de marques striées noires et blanches sur les côtés du cou et plumes des scapulaires et des couvertures largement bordées de pâle) dans un secteur agricole (ferme de l’Ormeau et hameau de Panreux) proche de Montreuil-Bellay (Maine-et-Loire) a été annoncée le 18 décembre 2025 sur le web collaboratif Faune-france.org. L’oiseau était encore présent le 22 décembre 2025. 
Cet individu se nourrit avec des Tourterelles turques, avec lesquelles il garde une certaine distance, dans les champs de Tournesols et dans les cours des fermes et dort dans des arbres près des bâtiments agricoles. Les observateurs ont pu noter son comportement actif, son plumage plus sombre que celui des Tourterelles turques et sa taille comparable à ces dernières.   
Cette observation rappelle donc par plusieurs aspects celle de David Lambottin en février et en mars 2012 dans le Lot-et-Garonne : une cohabitation avec des Tourterelles turques, une présence à proximité de bâtiments et un comportement assez discret. 

Tourterelle orientale (Streptopelia orientalis meena) de première année

Tourterelle orientale (Streptopelia orientalis meena) de première année près de Montreuil-Bellay (Maine-et-Loire) le 18 décembre 2025. Notez le cou particulièrement long quand l’oiseau est en alerte. 
Photographie : Alain Fossé

Tourterelle orientale (Streptopelia orientalis meena) de première année

Tourterelle orientale (Streptopelia orientalis meena) de première année près de Montreuil-Bellay (Maine-et-Loire) le 21 décembre 2025.  
Photographie : Sébastien Dubuc

Vidéo de la Tourterelle orientale de première année découverte en Maine-et-Loire (France) en décembre 2025

Tourterelle orientale (Streptopelia orientalis meena) de première année près de Montreuil-Bellay (Maine-et-Loire) le 18 décembre 2025.
Source : Alain Fossé

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