Galerie : sélection de photos d’oiseaux en France et ailleurs dans le monde

Photo prise le 12/04/2020 depuis un affût muni d'une vitre sans tain (lire Construire une cabane d’affût pour photographier les oiseaux et Faire un affût pour pratiquer la photographie animalière).

Observé dans mon jardin en Moselle le 20/04/2020.

Photo prise le 19/04/2020.

Photo prise le 18/04/2020. Lire Fournir de l'eau aux oiseaux toute l'année.

Photo prise le 14/04/2020.

Photo prise le 15/04/2020.

Photo prise le 16/04/2020 par Marlène Seguin. Probablement un Aigle impérial de troisième année d'après son plumage "en damier" brun-jaune et noir, et la base blanche de la queue (lire Identification d’un Aigle impérial immature en Camargue gardoise durant l’automne 2018). Observé une vingtaine de minutes. Il a été vu d'abord très près (à 15 mètres), puis il s'est posé dans un labour un peu plus loin. Houspillé brièvement par deux Corneilles noires, puis s'est envolé et a disparu. Non revu le lendemain. L'Aigle impérial niche de façon discontinue de l’Europe centrale (lire Étudier, observer et protéger l’Aigle impérial en Slovaquie) à la Sibérie orientale. En France, moins de dix données ont été homologuées depuis 1993 selon le Comité d'Homologation National.
Remarque : l'hypothèse d'un Aigle ibérique (Aquila adalberti) de troisième année, difficile à distinguer de l'Aigle impérial du même âge, n'est peut-être pas à écarter totalement, la situation géographique de cette observation plaidant en faveur de cette autre espèce.

Photo prise le 16/04/2020 par Marlène Seguin. Probablement un Aigle impérial de troisième année d'après son plumage "en damier" brun-jaune et noir, et la base blanche de la queue (lire Identification d’un Aigle impérial immature en Camargue gardoise durant l’automne 2018). Notez les ailes rectangulaires, la queue courte, le dessous beige, la nuque claire, la gorge noire et les rémiges primaires sombres, certaines étant plus claires que les autres.

Photo prise le 16/04/2020 par Marlène Seguin. Probablement un Aigle impérial de troisième année (lire Identification d’un Aigle impérial immature en Camargue gardoise durant l’automne 2018). Notez le plumage globalement sombre de loin, la nuque semblant plus claire et les pattes jaunes.
Observé une vingtaine de minutes. Il a été vu d'abord très près (à 15 mètres), puis il s'est posé dans un labour un peu plus loin. Houspillé brièvement par deux Corneilles noires, puis s'est envolé et a disparu. Non revu le lendemain.

Photo prise le 16/04/2020 par Marlène Seguin. Probablement un Aigle impérial de troisième année d'après son plumage "en damier" brun-jaune et noir, et la base blanche de la queue (lire Identification d’un Aigle impérial immature en Camargue gardoise durant l’automne 2018). Observé une vingtaine de minutes. Il a été vu d'abord très près (à 15 mètres), puis il s'est posé dans un labour un peu plus loin. Houspillé brièvement par deux Corneilles noires, puis s'est envolé et a disparu. Non revu le lendemain. L'Aigle impérial niche de façon discontinue de l’Europe centrale (lire Étudier, observer et protéger l’Aigle impérial en Slovaquie) à la Sibérie orientale. En France, moins de dix données ont été homologuées depuis 1993 selon le Comité d'Homologation National.
Remarque : l'hypothèse d'un Aigle ibérique (Aquila adalberti) de troisième année, difficile à distinguer de l'Aigle impérial du même âge, n'est peut-être pas à écarter totalement, la situation géographique de cette observation plaidant en faveur de cette autre espèce.

Photo prise le 30/03/2020 : observé pour la première fois (plus de temps disponible durant le confinement), et il est resté deux à trois jours.

Photo prise le 15/04/2020 lors de son repas matinal.