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Brèves

Des Cassicans flûteurs s’entraident pour retirer les traceurs GPS dont ils étaient équipés

Ces passereaux sont très sociables et leurs capacités cognitives sont élevées, et cette entraide mutuelle en est une illustration supplémentaire.
18/02/2022 | Non soumis au comité de lecture
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Source

Joel Crampton, Celine H. Frère et Dominique A. Potvin (2021). Australian Magpies Gymnorhina tibicen cooperate to remove tracking devices. Australian Field Ornithology. Volume : 39. Pages : 7-11. www.birdlife.org.au

3 commentaire(s) sur ce sujet

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Je serais plutôt d’accord avec Isrodde, pour protéger les oiseaux on a pas vraiment besoin d’une étude de plus avec tout le dérangement qui va avec, on en sait sans doute déjà bien assez sur ce qui les menace.
Dans le cas présenté ci-dessus il s’agit d’une étude à priori sans but de « protection ». Pour une publication scientifique il y a parfois des dérangements notables qui sont toujours justifiés par un besoin de connaissance supplémentaire, est-ce que cela apporte quelque chose à l’oiseau ?

Ne peut-on pas imaginer de les laisser tranquilles ? On affuble les animaux sauvages de traceurs divers et variés sous prétexte qu’il faut bien les connaître pour les protéger, pour moi je pense que la meilleure façon de les protéger c’est d’arrêter de détruire et d’anthropiser leurs espaces de vie. A-t-on une idée du stress qu’ils subissent lors de la capture et pose de ces instruments ? C’est énervant de constater que l’homme se comporte en » possesseur « de tout ce qui vit sur cette merveilleuse planète. Vraiment cet anthropocentrisme exacerbé est insuppportable.

Bonjour, mieux comprendre les oiseaux permet souvent de mieux les protéger, mais les systèmes de marquage et de suivi devraient être moins gênants. Cordialement David