L’île aux Moutons, le « royaume » des sternes en Bretagne

Situation de l'archipel des Glénan (Finistère)

Situation de l’archipel des Glénan (Finistère).
Carte : Ornithomedia.com

L’archipel granitique des Glénan est situé dans le golfe de Gascogne, au large du département du Finistère. Dépendant de la commune de Fouesnant, il est constitué de cinq îles principales (Penfret, du Loch, Drenec, Saint-Nicolas et Bananec) et d’une multitude d’îles plus petites, d’îlots, de rochers isolés et de récifs, entourant un lagon peu profond, bien abrité des vents dominants, que l’on surnomme « la chambre ».
On y trouve le Narcisse des Glénan (Narcissus triandrus capax), une sous-espèce endémique qui pousse dans les dunes de l’île Saint-Nicolas : en 1974, à l’initiative de l’association Bretagne vivante, une partie de cette dernière a été classée en réserve naturelle, dont l’accès est interdit par une clôture.
L’archipel des Glénan accueille plusieurs oiseaux nicheurs, dont le Gravelot à collier interrompu (Anarhynchus alexandrinus), l’Huîtrier pie (Haematopus ostralegus), le Grand Cormoran (Phalacrocorax carbo), le Cormoran huppé (Gulosus aristotelis) et les Goélands argenté (Larus argentatus), brun (L. fuscus) et marin (L. marinus). Par ailleurs, une belle diversité de limicoles et de passereaux y fait une halte durant les migrations.

Vue de l'île aux Moutons, dans l'archipel des Glénan (Finistère)

Vue de l’île aux Moutons, dans l’archipel des Glénan (Finistère), le 30 juin 2022 (cliquez sur la photo pour l’agrandir).
Photographie : Manon Billard et Lucas Mugnier

L’île aux Moutons, qui fait partie de l’archipel, est située à 5 km du groupe principal. De forme légèrement allongée, sa surface est de cinq hectares, en incluant les îlots proches. Elle n’est pas habitée, et un phare y a été construit. Appartenant à la Société civile de l’Odet et à l’État, elle a été classée en réserve gérée par l’association Bretagne Vivante. Protégée aussi par un arrêté de protection de biotope, son accès est intégralement interdit du 1er avril au 31 août.
En effet, d’avril à fin août, elle accueille la grande colonie mixte bretonne de sternes, qui est surveillée par des bénévoles de l’association Bretagne Vivante, qui mènent aussi des actions d’entretien de la végétation (fauche) pour favoriser la nidification des oiseaux.
En 2020, on a recensé 3 040 couples de Sternes caugeks (Thalasseus sandvicensis), soit la seconde plus importante colonie de France après celle du Banc d’Arguin en Gironde (lire Observer les oiseaux dans la réserve naturelle nationale du Banc d’Arguin), de 49 couples de Sternes de Dougall (Sterna dougallii), soit la plus importante colonie de France (lire Où observer la Sterne de Dougall en Bretagne ?), et de 138 couples de Sternes pierregarins (Sterna hirundo) (plus de 45 % du total breton).  
En 2024, 2 409 couples de Sternes caugeks, 107 de Sternes pierregarins et 17 de Sternes de Dougall ont été recensés (lire Yann Jacob nous en dit plus sur la situation actuelle de la Sterne de Dougall en France métropolitaine).
Probablement attirées par cette concentration (près de 75 % des sternes nicheuses en Bretagne) et par la situation géographique de l’île, d’autres espèces de sternes ont déjà été vues sur l’île aux Moutons : Sternes arctique (Sterna paradisaea), élégante (Thalasseus elegans) (un couple mixte avec un Sterne caugek a niché à plusieurs reprises, dont au moins une fois avec succès, entre 1995 et 2006, lire Une Sterne élégante sur l’île aux Moutons en juin 2006) et bridée (Onychoprion anaethetus) : un oiseau vu du 26 au 30 juillet 2000, puis un découvert le 28 juin 2022 et revu jusqu’au 19 août au moins. Le probable même oiseau a été observé en 2023 (du 13 au 21 mai au moins), en 2024 (du 23 mai au 18 juillet au moins) et en 2025 (du 25 avril au 10 juillet au moins).  
Outre les sternes, le Gravelot à collier interrompu, l’Huîtrier pie, les Goélands argenté, brun et marin, le Tadorne de Belon (Tadorna tadorna), le Pipit maritime (Anthus petrosus), l’Accenteur mouchet (Prunella modularis), le Merle noir (Turdus merula), le Pigeon ramier (Columba palumbus) et la Linotte mélodieuse (Linaria cannabina) sont également nicheurs.
Une vingtaine de Phoques gris (Halichoerus grypus) peuple par ailleurs les îlots alentours.

Accéder à l’île aux Moutons et à l’archipel des Glénan

Carte de l'archipel des Glénan (Finistère)

Carte de l’archipel des Glénan (Finistère). L’île aux Moutons, qui fait partie de l’archipel, est située à 5 km au nord du groupe principal. Dans la carte du bas, le groupe principal d’îles est présenté en détail. 
Carte : Ornithomedia.com

L’île aux Moutons est strictement interdite d’accès du 1er avril au 31 août, mais il est possible d’observer les sternes depuis un bateau au mouillage, tout en gardant une distance respectable afin de ne pas les déranger. Il faut aussi éviter de jeter l’ancre dans les herbiers de zostères, qui constituent un refuge et une zone de ponte pour les poissons et les crustacés. Il est possible pour s’en approcher de contacter un propriétaire de bateaux basé dans l’un des ports de la côte, comme Mousterlin, La Forêt-Fouesnant ou Concarneau. 
La compagnie des Vedettes de l’Odet permet de rejoindre l’archipel des Glénan depuis les ports de Bénodet et de Concarneau d’avril à septembre, mais aussi de Loctudy, de Beg-Meil et de Port-la-Forêt en juillet et en août. La Vedette de l’Odet s’amarre tout d’abord à la cale de l’île Saint Nicolas pour une escale libre : vous pourrez ainsi découvrir le Narcisse des Glénan et observer les oiseaux nicheurs et migrateurs de l’île. À marée basse, une langue de sable la relie à l’île de Bananec. La croisière, commentée par un guide, se poursuit ensuite dans le reste de l’archipel. Le navire ne s’approche toutefois pas de l’île aux Moutons. 
Plus d’informations sont disponibles sur le site web www.vedettes-odet.com.

La Sterne bridée, une espèce tropicale très rare en Europe

Longueur : 37-42 cm.

Envergure : 65-72 cm.

Description : la Sterne bridée adulte a le dos, le dessus des ailes et de la queue gris brun (plus sombre au niveau des ailes), la calotte noire et le dessous du corps et le front blancs. La queue est profondément fourchue. Le juvénile a la tête moins contrastée, la queue n’est pas bordée de blanc, et le dos et le dessus des ailes présentent un motif écailleux chamois. Le bec et les pattes sont noirâtres.

Sterne bridée (Onychoprion anaethetus)

Sterne bridée (Onychoprion anaethetus) adulte sur l’île aux Moutons (Finistère) le 29 juin 2022 : notez le dessus gris brun contrastant avec la calotte noire et le trait loral noir épais (cliquez sur la photo pour l’agrandir).
Photographie : Manon Billard et Lucas Mugnier

Elle est un peu plus grande que la Sterne pierregarin et moins massive que la Sterne caugek. Son vol est élégant et gracieux, et elle plonge rarement dans l’eau pour attraper des poissons.
Elle ressemble étroitement à la Sterne fuligineuse (Onychoprion fuscatus), mais elle est plus fine que celle-ci, le dessus du dos et des ailes est plus clair, le blanc est plus étendu sur les bords de la queue, et le dessous des rémiges est plus clair. Dans de bonnes conditions de lumière, on note une démarcation entre le capuchon noir et le manteau gris-brun chez la Sterne bridée, ce qui n’est pas le cas chez la Sterne fuligineuse (aucune transition entre la calotte et le dessus uniformément noirâtre). Sous une bonne lumière, on voit que la Sterne bridée a un manteau plus gris que les ailes, créant parfois un effet de collier pâle.
Le meilleur critère reste toutefois la forme des sourcils : ils sont plus courts et plus carrés chez la Sterne bridée, atteignant seulement l’avant des yeux, alors qu’ils s’étendent au-delà chez la seconde. Par ailleurs, le trait loral (ou sourcilier) est large chez la Sterne bridée, atteignant nettement la mandibule supérieure, alors qu’il est fin et atteint à peine le bec chez la Sterne fuligineuse. Enfin, son front blanc est moins étendu.
Enfin, le vol de la Sterne bridée est plus léger.

Habitat, aire de répartition et sous-espèces

La Sterne bridée niche au sol sous des arbustes et forme des colonies sur des îlots rocheux ou sablonneux dans les océans Atlantique, Indien et Pacifique (lire Philippe Borsa nous dresse le bilan de l’avifaune des atolls Chesterfield-Bampton et d’Entrecasteaux en Nouvelle-Calédonie). C’est une espèce pélagique en dehors de la période de nidification. Notons le cas de nidification d’un couple en 2022 sur l’épave de l’épave du navire Iran-Reshadat, à environ 10 km du port d’Imam Hassan, dans la baie de Bahregan, dans la province de Bushehr (Iran).  
Quatre sous-espèces sont reconnues :

  • Onychoprion anaethetus anaethetus : océan Indien et Pacifique Ouest.
  • Onychoprion anaethetus melanopterus : mer des Caraïbes et Afrique de l’Ouest.
  • Onychoprion anaethetus antarcticus : mer Rouge, golfe Persique et ouest de l’océan Indien. L’île de Nakhiloo, située dans le parc national marin iranien de Dayyer-Nakhiloo, constitue l’un des principaux sites de reproduction de l’espèce dans le golfe Persique.
  • Onychoprion anaethetus nelsoni : Amérique centrale.

La découverte d’une Sterne bridée sur l’île aux Moutons le 28 juin 2022

Sterne bridée (Onychoprion anaethetus)

Sterne bridée (Onychoprion anaethetus) adulte et Sternes pierregarins (Sterna hirundo) sur l’île aux Moutons (Finistère) le 29 juin 2022 (cliquez sur la photo pour l’agrandir).
Photographie : Manon Billard et Lucas Mugnier

Durant la saison de nidification 2022, Lucas Mugnier et Manon Billard effectuent leur service civique dans l’archipel des Glénan pour Bretagne Vivante. Leur rôle est d’assurer une permanence sur l’île aux Moutons avec l’aide des salariés et des bénévoles de l’association afin de protéger les sternes nicheuses des perturbations humaines, mais aussi de suivre leur comportement, de réaliser des comptages, des lectures de bagues et de participer aux actions de gestion (entre autres). Ils contribuent aussi au suivi des goélands, des Huîtriers pie, des Gravelots à collier interrompu, des Cormorans huppés et des Phoques gris dans l’ensemble de l’archipel. Enfin, ils réalisent des actions de sensibilisation auprès des visiteurs qui font une halte sur l’île Saint-Nicolas, où est située la réserve nationale également gérée par l’association.
Le soir du 28 juin 2022, sous une pluie battante, alors qu’elle comptait les sternes réunies sur un reposoir sur l’une des plages de l’île aux Moutons, Manon Billard a repéré dans sa longue-vue une sterne toute sombre posée entre des Sternes pierregarin et de Dougall. Elle a immédiatement pensé à une Sterne bridée car cette espèce avait été observée en début de saison sur les îles de Ré (Charente-Maritime) et de Jersey (Grande-Bretagne) (lire Observer les oiseaux sur l’île de Jersey). Ils ont publié leur observation sur le site web collaboratif faune-france.org.
Lucas Mugnier, qui se tenait à côté de Manon, a pu la voir et confirmer l’identification. Ils l’ont observée durant une vingtaine de minutes avant qu’elle ne disparaisse dans la nuit. Le lendemain, ils l’ont revue vers 14 heures, et elle était toujours présente sur l’île le 7 juillet au moins.
Très mobile, elle a été notée en vol et posée, toujours à proximité des Sternes pierregarins, avec lesquelles elle semblait vouloir « communiquer », criant fréquemment. Elle paradait et les poursuivait, et en retour, elle était soit ignorée, soit attaquée. À trois reprises, ils l’ont vu s’approcher de poussins de Sternes pierregarins et leur donner des coups de bec, provoquant une réaction violente des parents. Des observateurs ont aussi remarqué qu’elle restait fréquemment près d’une crevasse dans les rochers, et qu’elle tenait parfois un petit caillou dans le bec (en juillet 2025).

Sterne bridée (Onychoprion anaethetus)

Sterne bridée (Onychoprion anaethetus) sur l’île aux Moutons, dans l’archipel des Glénan (Finistère), le 29 juin 2022 (cliquez sur la photo pour l’agrandir).
Photographie : Manon Billard et Lucas Mugnier

Il s’agit au moins de la seconde donnée de cette espèce tropicale sur l’île aux Moutons, après un oiseau du 26 au 30 juillet 2000, qui se tenait aussi souvent près des Sternes pierregarins. 
La Sterne bridée a été revue jusqu’au 19 août 2022 au moins. Le probable même oiseau a été observé en 2023 (du 13 au 21 mai au moins), en 2024 (du 23 mai au 18 juillet au moins) et en 2025 (du 25 avril au 10 juillet au moins). Avant d’atteindre l’île aux Moutons, elle avait visité le 12 juin 2025 la colonie de sternes de l’estuaire d’Ythan dans l’Aberdeenshire (Grande-Bretagne), puis celle de l’île Coquet, dans le Northumberland, le 13 juin, où elle avait stationné quinze jours durant l’été 2024 (lire Bonnes nouvelles pour la Sterne de Dougall en Grande-Bretagne en 2018). Elle a ensuite fait une brève apparition le 14 juin 2025 au-dessus de la réserve naturelle de Minsmere, dans le Suffolk.  

Écoutez ci-dessous un enregistrement de la Sterne bridée sur l’île aux Moutons (Finistère) réalisé par Tristan Guillebot de Nerville (Bretagne Vivante) en juillet 2022 (source : Xeno-Canto). :

Une espèce accidentelle en Europe

Sterne bridée (Onychoprion anaethetus)

Sterne bridée (Onychoprion anaethetus) adulte devant le phare de île aux Moutons, dans l’archipel des Glénan (Finistère) le 29 juin 2022 (cliquez sur la photo pour l’agrandir).
Photographie : Manon Billard et Lucas Mugnier

La Sterne bridée est une espèce marine originaire des zones subtropicales et tropicales des océans Atlantique, Pacifique occidental et Indien. En Europe de l’Ouest, c’est une espèce accidentelle très rare, qui a principalement été notée entre juin et août, une période de « vagabondage » classique pour les oiseaux marins tropicaux qui ont fini leur période de nidification ou qui n’ont pas niché (lire Une histoire de fous : un Fou à pieds rouges visite la colonie de Fous de Bassan des Sept-Îles).
Les données ouest-européennes sont peu nombreuses : trois aux Pays-Bas (octobre 2012 et durant l’été 1989), deux en Belgique (été 1989), au moins 31 au Royaume-Uni (dont 25 entre juin et août et 6 entre septembre et novembre), une en Irlande (en automne) et au moins douze en France (dont huit en été) jusqu’en 2016 (Comité d’Homologation National).
Outre celles de 2022, 2023, 2024 et 2025 sur l’île aux Moutons, citons entre autres les observations suivantes dans l’hexagone (voir aussi notre rubrique Observations) :

  • une trouvée morte (un chat l’avait ramassée sur une plage voisine) dans un jardin à Angoulins (Charente-Maritime) le 5 février 2016.
  • Une à 267 km au large de l’île de Sein (Finistère) le 11 novembre 2014 (lire Observer les oiseaux sur l’île de Sein)
  • Une depuis la plage de la Pointe à L’Aiguillon-sur-Mer (Vendée) le 9 juillet 2013 (lire La réserve naturelle de la baie de l’Aiguillon : slikke, schorre et oiseaux).
  • Une à Saint-Jacut-de-la-Mer (Côtes-d’Armor) le 22 août 2001 (source : Andréas Guyot).
  • Une sur l’île aux Moutons (Finistère) du 26 au 30 juillet 2000.
  • Un adulte dans la réserve naturelle du Banc d’Arguin (Gironde) du 13 au 21 juillet 1986.
  • Un adulte dans la réserve naturelle du Banc d’Arguin (Gironde) le 3 juillet 1987.
  • Un adulte dans la réserve naturelle du Banc d’Arguin (Gironde) le 27 mai 1990.

Quelle est son origine possible ?

Aire de répartition de la Sterne bridée

Aire de répartition de la Sterne bridée (Onychoprion anaethetus) (en rouge, les zones de nidification et en bleu, les zones d’hivernage) et situation de l’île aux Moutons (Finistère).
Carte : Ornithomedia.com

Comme c’est le cas des oiseaux rares non bagués, il est difficile de déterminer l’origine de la Sterne bridée découverte dans le Finistère le 28 juin 2022 : cette date est en tout cas conforme à celles de la plupart des données européennes de l’espèce. 
Quatre sous-espèces sont reconnues, et étant donné la situation géographique de l’île aux Moutons, il est possible que l’individu trouvé le 28 juin sur l’île aux Moutons appartienne à la sous-espèce melanopterus qui niche dans la mer des Caraïbes (environ 8 900 couples en 2012 selon le West Indian Breeding Seabird Atlas), la population des côtes d’Afrique de l’Ouest (de la Mauritanie au golfe de Guinée) étant désormais très réduite.
Après leur saison de nidification, qui s’étale d’avril à octobre, les Sternes bridées qui se reproduisent dans les Antilles migrent vers la mer des Caraïbes et le golfe du Mexique : certaines suivent le Gulf Stream en été et atteignent parfois la Caroline du Nord, le long de la côte atlantique des États-Unis.
L’espèce est pélagique et vit généralement loin des côtes en dehors de la saison de reproduction. Elle est capable d’effectuer de grands trajets : un suivi d’oiseaux bagués dans le golfe Persique a montré qu’ils pouvaient atteindre l’Indonésie et la péninsule malaise après leur saison de nidification. Hoyo et Collar (2014) avaient par ailleurs indiqué que les Sternes bridées nichant dans le golfe hivernaient au large de l’Afrique de l’Ouest et au nord de l’océan Indien. Un oiseau a été découvert le 13 février 2022 dans le golfe de Maunganui (Nouvelle-Zélande), constituant la seconde donnée acceptée  pour le pays.  
L’oiseau de l’île aux Moutons découvert en juin 2022 aurait pu atteindre l’Europe de l’Ouest durant l’été précédent, après avoir été entraîné par les vents accompagnant les dépressions transatlantiques de l’été ou de l’automne (lire Comment arrivent les oiseaux rares ?) : une Sterne bridée observée sur l’île de Terschelling (Pays-Bas) en octobre 2012 et une autre signalée le long de la côte du Northumberland (Royaume-Uni) en septembre 2012 avaient en effet peut-être été emportées par l’ouragan Nadine qui avait traversé l’océan Atlantique du 11 septembre au 4 octobre, touchant les îles du Cap-Vert et les Açores.

Quelques photos de la Sterne bridée prises sur l’île aux Moutons (Finistère) le 3 mai 2025 

Sterne bridée (Onychoprion anaethetus)

Sterne bridée (Onychoprion anaethetus) sur l’île aux Moutons (Finistère) le 3 mai 2025 (cliquez sur la photo pour l’agrandir).
Photographie : Aurélien Lévy

Sterne bridée (Onychoprion anaethetus)

Sterne bridée (Onychoprion anaethetus) sur l’île aux Moutons (Finistère) le 3 mai 2025 (cliquez sur la photo pour l’agrandir).
Photographie : Aurélien Lévy

Sterne bridée (Onychoprion anaethetus)

Sterne bridée (Onychoprion anaethetus) sur l’île aux Moutons (Finistère) le 3 mai 2025 (cliquez sur la photo pour l’agrandir).
Photographie : Aurélien Lévy

Sterne bridée (Onychoprion anaethetus)

Sterne bridée (Onychoprion anaethetus) sur l’île aux Moutons (Finistère) le 3 mai 2025 (cliquez sur la photo pour l’agrandir).
Photographie : Aurélien Lévy

Sterne bridée (Onychoprion anaethetus)

Sterne bridée (Onychoprion anaethetus) sur l’île aux Moutons (Finistère) le 3 mai 2025 (cliquez sur la photo pour l’agrandir).
Photographie : Aurélien Lévy

Sterne bridée (Onychoprion anaethetus)

Sterne bridée (Onychoprion anaethetus) sur l’île aux Moutons (Finistère) le 3 mai 2025 (cliquez sur la photo pour l’agrandir).
Photographie : Aurélien Lévy

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