La mue et les différents types de plumages chez les bruants (Emberizidés)

Bruant masqué (Emberiza spodocephala) de premier hiver

Bruant masqué (Emberiza spodocephala) de premier hiver sur la presqu’île de Spurn, dans le Yorkshire de l’Est (Grande-Bretagne), le 22 octobre 2025. Notez (1) le bec bicolore, (2) les sourcils peu marqués, (3) les joues grisâtres encadrées de brun (et non de noir), (4) le trait malaire brun (et non noir) délimitant l’espace sous-mustacien, (5) les couvertures alaires sans traces de roux et (6) le dessous teinté de jaune crème strié de façon diffuse (cliquez sur la photo pour l’agrandir).
Photographie : Jim Hutchins / The Standlake Birder

Le plumage est composé de l’ensemble des plumes de l’oiseau (lire Les plumes des oiseaux). On distingue globalement les plumes de vol (les rectrices de la queue et les rémiges primaires, secondaires et tertiaires des ailes) et les tectrices, plus petites et qui recouvrent la plus grande partie du corps, y compris une partie des ailes et de la queue (les couvertures alaires et les sus- et sous-caudales sont en effet des tectrices).
Toutes ces plumes ne sont pas réparties de façon hasardeuse ou aléatoire : elles sont regroupées dans les différentes parties du corps (calotte, nuque, épaules, gorge, ailes, etc.), une distribution qui constitue la topographie du plumage.
Afin de remplacer les plumes usées, tous les oiseaux muent au moins une fois chaque année, en fin d’été/automne. L’usure modifiant les couleurs en éliminant les franges extérieures des plumes, l’observation des plumages et du degré de cette usure permet donc d’avoir une idée de l’âge des oiseaux. 
Chez la majorité des bruants du paléarctique (famille des Emberizidés), dont les Bruants masqué (Emberiza spodocephala) et des roseaux (E. schoeniclus), le juvénile subit en été (entre juillet et septembre selon espèces) une mue post-juvénile généralement partielle touchant les petites et moyennes couvertures, les plumes de la tête (notamment les parotiques), une proportion variable des tectrices alaires internes et parfois quelques plumes du manteau. En revanche, elle n’inclut pas les rémiges primaires et secondaires, la majorité des tertiaires et les rectrices. le plumage de premier hiver ainsi acquis présente donc une combinaison de plumes usées (= issues du plumage juvénile) et fraîches (= post-juvéniles) : en particulier, les rémiges tertiaires juvéniles non renouvelées deviennent étroites et usées, et le plumage alaire est peu contrasté.
Lors de leur second automne (entre juillet et septembre selon les espèces), les oiseaux subissent une mue postnuptiale complète, renouvelant tout leur plumage. Ils présentent ensuite un plumage adulte internuptial entièrement frais, souvent plus uniforme et plus richement coloré que celui des oiseaux de première année. Leurs rémiges tertiaires sont en particulier larges (car non usées), et leur dessin facial est contrasté. Chez les espèces assez colorées, comme les Bruants jaune (Emberiza citrinella) et ortolan (E. hortulana), ce plumage internuptial peut sembler plus terne qu’au printemps, car les plumes fraîches ont souvent des liserés pâles qui s’usent avant la saison de reproduction, révélant alors des couleurs plus tranchées. Par exemple, le Bruant jaune mâle adulte paraît brun-olive en automne, mais jaune vif au printemps suivant, même sans avoir changé toutes ses plumes, et le capuchon et la gorge du Bruant des roseaux deviennent vraiment noirs par l’usure de la bordure brun-gris de leurs plumes.

Bruant des roseaux (Emberiza schoeniclus) adulte en plumage internuptial

Bruant des roseaux (Emberiza schoeniclus) adulte en plumage internuptial en Camargue (Bouches-du-Rhône), le 11 novembre 2021. Notez (1) la bordure pâle (beige) des plumes du capuchon et de la gorge, qui s’usera au cours de l’hiver, révélant une couleur noir pur (cliquez sur la photo pour l’agrandir).
Photographie : Cathy Gournay

Chez certaines espèces, comme les Bruants des roseaux, jaune et ortolan, les adultes subissent en outre à la fin de l’hiver ou au début de printemps (entre février et avril) une mue prénuptiale (préalternée) partielle qui remplace principalement les plumes du corps et parfois quelques couvertures alaires, mais jamais les rémiges primaires et secondaires ni les rectrices : elle « rafraîchit » le plumage avant la saison de reproduction et peut renforcer les couleurs du plumage nuptial.
Les différents plumages des Embérizidés sont donc :

  • le plumage juvénile, porté quelques semaines après la sortie du nid, souvent fortement strié et plutôt terne.
  • Le plumage de premier hiver (entre la fin de la première année et la première partie de la seconde année calendaire), acquis après une mue post-juvénile partielle. Les oiseaux conservent ensuite une partie des plumes juvéniles (rémiges et rectrices), et le plumage a donc un aspect souvent plus usé et moins contrasté que celui de l’adulte.
  • Le plumage adulte internuptial (porté en automne et en hiver), issu d’une mue postnuptiale complète. Les couleurs sont souvent plus ternes qu’au printemps suivant à cause de l’usure réduite des marges pâles des plumes. 
  • Le plumage adulte nuptial (printemps), aux teintes plus contrastées du fait de l’usure des liserés pâles des plumes, qui révèle des couleurs plus vives. Il est parfois précédé d’une mue prénuptiale partielle (excluant les rémiges et les rectrices), qui renforce encore la « beauté » du plumage.

Description du Bruant masqué ou spodocéphale (Emberiza spodocephala

Longueur : 14 à 15,5 cm.

Envergure : 20 à 23 cm.

Bruant masqué (Emberiza spodocephala spodocephala) mâle adulte

Bruant masqué (Emberiza spodocephala spodocephala) mâle adulte, observatoire du Mas Neuf, Camargue (Bouches-du-Rhône), le 8 avril 2006. Notez sa ressemble globale avec un Accenteur mouchet (Prunella modularis), (1) son bec bicolore (mandibule inférieure rosée et supérieure grise), (2) ses lores noirs, (3) sa tête grisâtre, (4) son dos brun fortement strié de noir, (5) sa queue brune largement bordée de blanc et son dessous grisâtre et strié, (6) son dessous blanchâtre strié et (7) les pattes rosâtres (cliquez sur la photo pour l’agrandir).
Photographie : Marc Thibault

Description : deux sous-espèces du Bruant masqué (E. s. spodocephala et E. s.sordida) sont reconnues, la troisième (E. s. personata) ayant été élevée au rang d’espèce distincte, le Bruant de Temminck (E. personata). Les mâles adultes des deux sous-espèces sont facilement distinguables : alors que celui de E. s.sordida a la tête gris-verdâtre avec les sourcils et l’espace sous-mustacien (= situé sous les « moustaches ») jaunâtres, celui de la sous-espèce nominale ressemble globalement à un Accenteur mouchet (Prunella modularis), mais avec un bec conique. Il a une tête gris sombre, avec une zone noirâtre entre le bec et les yeux (lores). Les parties supérieures sont brunes fortement striées de noir, excepté le croupion. La queue est également marron sombre et est bordée de blanc. Les parties inférieures sont blanc légèrement lavé de jaune, avec des stries sombres sur les flancs. On note toutefois une variation clinale (= progressive) de la coloration ventrale : les populations de la partie occidentale de l’aire présentent un dessous blanchâtre, alors qu’à l’Est il est plus jaune.
La femelle adulte et le juvénile de la sous-espèce nominale ressemblent au Bruant des roseaux de premier hiver, avec un dessin de la tête moins contrasté sans traces de roux, des joues olive-gris, des sourcils blanc-crème assez peu marqués, un dessus brun strié de noir sans teintes rousses au niveau des couvertures, et un dessous blanchâtre teinté de jaune-crème fortement strié de marron sombre.
Le bec est souvent bicolore (mandibule inférieure rosée et supérieure sombre).

Comportement : le Bruant masqué est plutôt farouche et discret et peut facilement passer inaperçu. Il reste souvent dans la végétation dense, rendant son observation délicate, même s’il se nourrit parfois à découvert, le long des chemins, par exemple. Le mâle chanteur ne reste pas volontiers à découvert.

Vocalisations : les cris de contact sont des “tzii” ou “tzee” assez métalliques, très courts et assez forts, similaires à ceux du Bruant nain (E. pusilla). Le chant du mâle de la sous-espèce nominale est mélodieux, rapide, riche en notes aiguës et composé de strophes assez brèves, répétées à intervalles réguliers, évoquant celui de l’Accenteur mouchet, mais moins long.

Écoutez ci-dessous un enregistrement des cris du Bruant masqué réalisé en Russie par Stanislas Wroza le 23 juin 2019 (source : Xeno-Canto) :

 

Aire de répartition du Bruant masqué (Emberiza spodocephala)

Aires de nidification (A) de la sous-espèce nominale du Bruant masqué (Emberiza spodocephala) et (B) de la sous-espèce E. s. sordida. En bleu, la zone d’hivernage de l’espèce.
Carte : Ornithomedia.com d’après le Cornell Lab of Ornithology

Habitats : il niche dans les broussailles denses le long des ruisseaux et des rivières dans les forêts mixtes et de feuillus. En hiver, il fréquente les zones agricoles et les secteurs ouverts mais parsemés de buissons. 

Aire de répartition : la sous-espèce nominale niche de la Sibérie centrale au nord de l’île russe de Sakhaline et aux côtes de la mer du Japon, atteignant au nord la Yakoutie centrale et, au sud, la Mongolie septentrionale et le nord-est de la Chine jusqu’à la Corée du Nord. La sous-espèce E. s. sordida occupe une aire de reproduction isolée dans le centre de la Chine. Les deux sous-espèces hivernent du Népal au sud de la Chine et à Taïwan en passant par le nord-est de l’Inde, le nord de la péninsule indochinoise et le sud de la Chine. 

Une espèce accidentelle rare en Europe, mais une augmentation des données depuis quelques années

Le Bruant masqué est une espèce accidentelle rare en Europe, et toutes les données se rapportent a priori à la sous-espèce nominale, plus « proche » géographiquement de notre continent. Dans un article publié en 2022 dans la revue Ornis Polonica à l’occasion de l’observation le 29 mai 2021 d’un mâle adulte de la sous-espèce nominale sur la presqu’île de Hel (Pologne), l’auteur avait recensé 26 données dans le Paléarctique occidental (lire Qu’est-ce que le Paléarctique occidental ?), dont sept au Royaume-Uni, quatre aux Pays-Bas, en Norvège et en Suède, trois en Allemagne, deux en Finlande, une au Portugal et une en France, en 2006 (lire Première française : un Bruant masqué en Camargue). En outre, plusieurs mentions en Allemagne et au Royaume-Uni ont été classées en catégorie D (origine incertaine), car l’espèce est parfois détenue en captivité.
Toutes ces mentions concernaient des individus isolés (14 observés, 14 capturés et un tué), et les données automnales d’oiseaux en plumage de type femelle/premier hiver. Au printemps, 11 individus ont été observés, dont 10 mâles.
Depuis 2021, deux autres Bruants masqués ont été notés dans le Paléarctique occidental : un en Israël le 31 octobre 2021 et un en Espagne le 19 mars 2022. Dans les deux cas, il s’agissait de premières mentions nationales. Durant l’automne et l’hiver 2022-2023, cinq ont été trouvés en Europe, dont trois en Grande-Bretagne.  
Dans une publication du 10 novembre 2025 de la page Facebook du classement des « cocheurs » en France et dans le Paléarctique occidental, on apprend que l’espèce a été observée cinq fois en France jusqu’à présent : le second oiseau a été capturé en 2022 au Niou, sur l’île d’Ouessant (Finistère), un a été noté en Charente Maritime en 2024, un au niveau du réservoir de l’île d’Ouessant en octobre 2025 et un sur l’île de Noirmoutier (Vendée), également en 2025 (voir notre synthèse d’observations récentes en France). En Europe, 14 oiseaux ont été trouvés cette année.  

Distinguer les Bruants masqué (sous-espèce nominale) et des roseaux de premier hiver

Bruant masqué (Emberiza spodocephala) de premier hiver

Bruant masqué (Emberiza spodocephala) de premier hiver sur la presqu’île de Spurn, dans le Yorkshire de l’Est (Grande-Bretagne), le 22 octobre 2025. Notez (1) le bec bicolore, (2) les sourcils peu marqués, (3) les joues grisâtres encadrées de brun (et non de noir), (4) le trait malaire brun (et non noir) délimitant l’espace sous-mustacien, (5) les couvertures alaires sans traces de roux chaud, (6) le dessus de la queue brun-olive bordé de blanc, (7) la poitrine et les flancs teintés de jaune crème et (8) striés de façon diffuse, et (9) les pattes rosâtres (cliquez sur la photo pour l’agrandir).
Photographie : Ewan Urquhart / Black Audi Birding

Les mâles adultes des Bruants masqué de la sous-espèce nominale (celle qui a le plus de chances d’être notée en Europe) et des roseaux étant très différents l’un de l’autre, nous nous concentrerons sur les critères permettant de distinguer les oiseaux de premier hiver et les femelles adultes des deux espèces.
Pour différencier le Bruant masqué de premier hiver de celui du Bruant des roseaux, les éléments suivants sont à noter : 

  • il a un dessin de la tête globalement moins contrasté, créant une « expression » plus douce et plus uniforme. Le dessin de la tête du Bruant des roseaux semble « stratifié » et composé de trois zones (sourcils clairs, joues brunes et trait malaire noir).
  • Ses sourcils sont moins nets. 
  • Ses joues (parotiques) sont beige-gris et non pas brun chaud, et elles ne sont pas encadrées de noir, comme chez le Bruant des roseaux.
  • Les « moustaches » plus étroites et moins sombres.
  • Il n’y a pas de net trait malaire noir séparant les joues et la gorge.
  • Son dos est plus fortement strié de sombre.
  • Son croupion est brun grisâtre strié de noir, alors qu’il est plus nettement gris chez le Bruant des roseaux mâle de premier hiver.
  • Les bordures des couvertures sont beiges à brun clair, parfois olivâtres, alors qu’elles sont roux-chaud chez le Bruant des roseaux. Chez ce dernier, les ailes semblent donc plus colorées, plus « chaudes » et plus contrastées.
  • Sa poitrine et ses flancs sont jaune crème, avec parfois une nuance olive, et les stries des parties inférieures sont plus fines, moins nombreuses et peu contrastées, semblant un peu “lavées”. Chez le Bruant des roseaux de premier hiver, la poitrine est blanc crème, les stries sont un peu plus épaisses et régulières, créant davantage de contraste entre la poitrine et les flancs striés et le ventre blanc.
  • Sa queue est un peu courte et ses rectrices sont plus foncées, d’un ton brun olive, alors que, chez le Bruant des roseaux de premier hiver, les rectrices sont généralement brun chaud, avec parfois des bords roux. Les rectrices externes blanches contrastent davantage chez le Bruant des roseaux. 
  • Son bec est bicolore mandibule inférieure rosée et supérieure sombre), alors qu’il est gris chez le Bruant des roseaux.
  • Ses cris de contact sont des « tsitt » secs et métalliques, alors que ce sont plutôt des « tsieh » traînants et plus doux chez le Bruant des roseaux.
Bruant masqué (Emberiza spodocephala) de premier hiver

Bruant masqué (Emberiza spodocephala) de premier hiver près du Bridge of Fitch dans les îles Shetland, en Écosse (Grande-Bretagne), le 22 octobre 2025. Notez (1) le bec bicolore (rose et gris), (2) les sourcils peu marqués, (3) les joues grisâtres encadrées de brun (et non de noir), (4) le trait malaire brun (et non noir) délimitant l’espace sous-mustacien, (5) les couvertures alaires sans traces de roux chaud, (6) le dessus de la queue brun-olive et bordé de blanc et (7) la poitrine et les flancs teintés de jaune crème et striés de façon diffuse (cliquez sur la photo pour l’agrandir).
Photographie : Jill Wilson / Sa page Facebook

Bruant des roseaux (Emberiza schoeniclus) de premier hiver

Bruant des roseaux (Emberiza schoeniclus) de premier hiver à Sariñena en Aragon (Espagne), le 7 janvier 2017. Notez (1) le bec grisâtre, (2) les sourcils blanchâtres nets, (3) les joues marron encadrées de noir, (4) le trait malaire noir large délimitant l’espace sous-mustacien, (5) et (6) les couvertures alaires marquées de roux chaud et (7) le dessous blanchâtre, aux stries plus épaisses et régulières et (8) les pattes rosâtres (cliquez sur la photo pour l’agrandir).
Photographie : François Bres

Distinguer les Bruants masqué (sous-espèce nominale) et des roseaux femelles adultes

La femelle adulte du Bruant masqué ressemble étroitement à l’oiseau de premier hiver, et les distinguer est difficile, mais :

  • sa coloration générale est plus chaude.
  • Sa tête est globalement plus grisâtre. 
  • Les rayures noires de son dos sont plus nettes.
  • Le dessin de sa tête (sourcils et trait malaire) est plus contrasté, avec des joues plutôt brun-olive que grisâtres.
  • Sa poitrine et ses flancs sont davantage nuancés de jaune crème et ses stries sont plus marquées.
  • Ses barres alaires sont un peu plus nettes et les ailes montrent souvent une usure régulière, car toutes les plumes ont été renouvelées à la dernière mue complète. Chez l’oiseau de premier hiver, on note un contraste entre les plumes juvéniles (rémiges tertiaires, les grandes couvertures et parfois l’alula) et les plumes post-juvéniles, plus fraîches. 

Par rapport à la femelle adulte du Bruant masqué, celle du Bruant des roseaux a :

  • une tête plus contrastée, avec des sourcils blanchâtres nets, une calotte brun châtain, des joues brun châtain nettement bordées de noir et un trait malaire noir nettement plus large qui se termine en une tache diffuse sur la poitrine. Une nuque grisâtre est généralement visible. 
  • Des parties inférieures blanchâtres sans traces de jaune, et des stries noires plus larges et plus nettes.
Bruant masqué (Emberiza spodocephala) femelle adulte

Bruant masqué (Emberiza spodocephala) femelle adulte sur l’île de Yangshan près de Shanghai (Chine). Notez (1) le bec bicolore, (2) les sourcils peu marqués, (3) les joues grisâtres, (4) le trait malaire peu épais délimitant l’espace sous-mustacien, (5) les couvertures alaires sans traces de roux chaud, (6) les stries du dos assez marquées, (7) le dessus de la queue brun-olive et (8) le dessous teinté de jaune crème et strié (cliquez sur la photo pour l’agrandir).
Photographie : Tom Tomlindroos / Tomlindroos.1g.fi

Bruant des roseaux (Emberiza schoeniclus) femelle adulte

Bruant des roseaux (Emberiza schoeniclus) femelle adulte en Allemagne en avril 2009. Notez (1) le bec grisâtre, (2) les sourcils blanchâtres nets, (3) les joues marron encadrées de noir, (4) le trait malaire noir large délimitant l’espace sous-mustacien, (5) et (6) les couvertures alaires marquées de roux chaud, (7) le dessus de la queue brun-olive bordé de blanc et (8) le dessous blanchâtre aux stries épaisses et régulières (cliquez sur la photo pour l’agrandir).
Photographie : Andreas Trepte / Wikimedia Commons

Vidéo d’un Bruant masqué observé en Suède en novembre 2024

Bruant masqué (Emberiza spodocephala), probablement de premier hiver, filmé à Brantevik (Suède) le 8 novembre 2024.
Source : Herr Sebbe

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