La population hongroise du Pic à dos blanc est plus importante qu’on ne le pensait

Grâce à l'utilisation de différentes méthodes et sources de données, trois ornithologues ont montré que depuis 1968, la population espagnole de la sous-espèce D. l. lilfordi du Pic à dos blanc avait colonisé plusieurs nouveaux secteurs en Navarre, et pourrait peut-être même un jour s'installer dans les monts Cantabriques.

Marc Fasol nous décrit sa recherche de la sous-espèce D. l. lilfordi du Pic à dos blanc dans les Pyrénées espagnoles et il nous donne des conseils pour l'observer.

Ces deux riches zones forestières sont situées non loin de la célèbre station de sports d'hiver de Garmich-Partenkirchen.

Un recensement de la population mené en 2011 a permis de découvrir 101 nids dans 150 secteurs contrôlés.

Un recensement récent, effectué dix ans après la dernière estimation de 1994-1995, confirme que les forêts de Pins sylvestres de l'ouest du royaume constituent toujours l'un des bastions européens de cette espèce en déclin ailleurs sur le continent.

Alors que l'espèce avait quasiment disparu dans les années 1980, 160 nids actifs ont été recensés en 2020, grâce à des mesures de conservation, mais aussi à des arrivées importantes d'oiseaux russes.

Présentation du rôle des glaciations et description d'un très bon secteur pour observer cet oiseau en Bulgarie.

Willy Maillard a notamment visité les parcs nationaux d'Hortobágy, d'Aggtelek et de Kiskunság, ainsi que le massif de Zemplén.

Jean-Claude et Michèle Bonnet ont observé les oiseaux dans les parcs nationaux de Bükk et d'Hortobagy.

Ces deux secteurs représentatifs du relief karstique sont particulièrement intéressants au printemps pour l'observation des oiseaux nicheurs et de passage, de la Chouette de l'Oural au Fuligule nyroca en passant par le Faucon kobez.