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Observer les oiseaux dans la réserve départementale d’Argentat-sur-Dordogne (Corrèze), d’anciennes gravières au fort potentiel ornithologique
Vue de la réserve départementale de biodiversité d’Argentat-sur-Dordogne (Corrèze).
Photographie : Jean-Michel Teulière
Introduction
Née de la reconversion d’une ancienne zone d’extraction de granulats, la réserve départementale de biodiversité d’Argentat-sur-Dordogne est devenue en quelques années comme l’un des sites ornithologiques les plus prometteurs du sud de la Corrèze. Implantée en rive gauche de la Dordogne, près d’Argentat-sur-Dordogne, elle résulte d’un vaste programme de renaturation engagé à partir de 2019, incluant un démantèlement des infrastructures industrielles, un remodelage des bassins, la création de berges à pentes douces et la plantation de milliers d’arbres, d’arbustes et de végétaux aquatiques. Ces actions ont progressivement transformé ces anciennes gravières en un ensemble de plans d’eau, de prairies humides et de ripisylves attractifs pour les oiseaux. Cette mosaïque d’habitats attire une avifaune de plus en plus diversifiée, avec plus de 203 espèces ont été observées au moins une fois en 2024.
En dehors de quelques nicheurs occasionnels intéressants, comme le Petit Gravelot et l’Hirondelle de rivage,, le site est surtout intéressant durant les migrations. En 2025, la réserve s’est notamment distinguée par l’observation de deux raretés exceptionnelles pour le Limousin et même au niveau national, le Chevalier grivelé (Actitis macularius), hôte nord-américain rare en Europe occidentale, et le Pouillot brun (Phylloscopus fuscatus), migrateur sibérien discret.
Grâce à Jean-Michel Teulière, bagueur et éco-interprète pour la réserve, et à Dominique Testaert, un observateur régulier, nous vous proposons de découvrir cette zone humide au fort potentiel et qui mérite d’être davantage connue.
Abstract
Born from the redevelopment of a former aggregate extraction site, the Argentat-sur-Dordogne Departmental Biodiversity Reserve has become, in just a few years, one of the most promising ornithological sites in the department of Corrèze, France. Located on the left bank of the Dordogne River, near Argentat-sur-Dordogne, it is the result of a vast restoration program launched in 2019, which included the dismantling of industrial infrastructure, the reshaping of ponds, the creation of gently sloping banks, and the planting of thousands of trees, shrubs, and aquatic plants. These actions have gradually transformed these former gravel pits into a network of ponds, wet meadows, and riparian woodlands that are attractive to birds. This mosaic of habitats attracts an increasingly diverse birdlife, with over 203 species observed at least once in 2024.
Apart from a few occasionnal interesting breeding bird species, such as the Little Ringed Plover and the Sand Martin, the site is particularly valuable during migrations. In 2025, the reserve was notably distinguished by the observation of two exceptional rarities for the Limousin region and even nationally: the Spotted Sandpiper (Actitis macularius), a North American visitor rare in Western Europe, and the Dusky Warbler (Phylloscopus fuscatus), a discreet Siberian migrant rarely detected in France.
Thanks to Jean-Michel Teulière, bird ringer and eco-interpreter for the reserve, and Dominique Testaert, a regular birder, we invite you to discover this wetland with its strong potential, which deserves to be better known.
Des travaux de renaturation lancés en 2019
Situation de la réserve départementale de biodiversité d’Argentat-sur-Dordogne (Corrèze). |
Les gravières d’Argentat-en-Dordogne, situées au sud de la ville, sur la rive droite de la Dordogne, ont été exploitées pendant des décennies pour l’extraction de graviers, de sables, de galets et de blocs de granit. L’activité industrielle a cessé à la fin de l’année 2013, à l’exception d’une plateforme de stockage et de concassage qui est restée active jusqu’à la mi-2019.
En 2017, le département de la Corrèze a acquis les 44 hectares de terrains dans le cadre du programme « Corrèze transition écologique », et un projet de renaturation écologique ambitieux a été lancé en 2019, l’objectif étant de transformer le site en une réserve naturelle en restaurant les habitats naturels et en favorisant leur recolonisation par la faune et la flore.
Différents travaux travaux ont été menés :
- démantèlement des anciennes infrastructures d’extraction.
- Remodelage des bassins pour les transformer en étangs et en mares et création de berges à pente douce pour favoriser leur colonisation par la flore et la faune aquatiques.
- Plantation de végétaux (arbres, arbustes et plantes aquatiques). Plus de 20 000 plantes aquatiques et plus de 15 000 arbres et arbustes ont été plantés pour créer différents habitats (roselières, ripisylves, prairies, etc.) : des milliers de graines d’espèces locales ont été semés sur plus de 15 hectares. La surface des roselières et des typhaies reste toutefois encore modeste et progresse lentement. Des zones ouvertes, à la végétation clairsemée, ont été laissées autour des plans d’eau pour permettre la nidification d’oiseaux nichant au sol. Les boisements crées servent de corridors et d’abris pour les animaux et végétaux issus de la ripisylve bordant la Dordogne.
Sentier de découverte de la réserve départementale de biodiversité d’Argentat-sur-Dordogne (Corrèze) (cliquez sur la photo pour l’agrandir). |
- Aménagement d’un observatoire et de sentiers autour des bassins, installation de panneaux d’information et développement d’une application mobile (voir les liens de téléchargement sur Google Play et sur l’Apple Store) pour accompagner votre visite, avec des clés d’interprétation de l’écosystème, des sentiers sonores / ludiques, etc.
Le site a officiellement été inauguré et ouvert au public en juillet 2020. Il a été classé Espace Naturel Sensible sous la forme d’une réserve départementale de biodiversité par le département de la Corrèze, mais il n’a pas (encore) le statut de réserve naturelle.
Accès et points d’observation
Depuis Tulle ou Brive-la-Gaillarde, rejoindre Argentat‑sur‑Dordogne. La réserve se situe juste au sud de cette ville, sur la rive gauche de la Dordogne. Depuis le centre-ville, prendre la D 1120 vers Aurillac. Une aire de stationnement a été aménagée près du croisement de la D 120 et l’avenue Lamartine (D 116).
Des sentiers permettent de faire le tour complet de la réserve : la randonnée « classique » fait environ 3,5 km, mais une boucle plus courte (environ 1,2 km) est accessible aux personnes à mobilité réduite. La zone la plus intéressante se situe dans la partie sud, au niveau du plus grand plan d’eau.
Un observatoire (numéro 1 sur notre carte) ouvert toute l’année y a été installé. Deux palissades sont aussi disponibles.
Carte de la réserve départementale de biodiversité d’Argentat-sur-Dordogne (Corrèze) : en rouge, les sentiers de découverte et en (1), l’emplacement de l’observatoire. |
Le site est ouvert toute l’année et l’accès est libre, mais il est important de rester sur les sentiers et de tenir votre chien en laisse.
Des sorties guidées sont organisées, plus d’informations sont disponibles sur le site web www.correze.fr.
Une flore en devenir
Comme le site a été en grande partie dénudé par l’activité d’extraction qui a duré plusieurs dizaines d’années, la flore est encore en cours de reconquête de la réserve (les roselières ne couvrent pas exemple que quelques m²), et l’on ne trouve pas d’espèces végétales rare, mais un inventaire est en cours dans le cadre de l’Atlas de Biodiversité Communale (ABC) d’Argentat. La diversité des habitats (plans d’eau berges, prairies et ripisylve) devrait toutefois permettre le développement à terme d’une flore riche, dont le retour a été accéléré par les travaux de renaturation et de plantations.
Des insectes, des amphibiens et des mammifères en cours d’installation
La réserve départementale de biodiversité d’Argentat-sur-Dordogne et ses travaux de renaturation sont récents, mais on constate déjà une intéressante diversité faunistique. C’est notamment le cas des libellules, avec 40 espèces recensées, dont une belle population de Trithémis pourprés (Trithemis annulata).
Les batraciens et les reptiles font partie des groupes d’animaux ciblés par les inventaires. Parmi les espèces recensées, citons le Sonneur à ventre jaune (Bombina variegata) (non visible depuis les sentiers), le Crapaud calamite (Epidalea calamita), plusieurs tritons, l’Alyte accoucheur (Alytes obstetricans), la Grenouille de Lessona (Pelophylax lessonae) (forte population), la Vipère aspic (Vipera aspis), les Couleuvres verte et jaune (Hierophis viridiflavus), à collier (Natrix natrix) et vipérine (Natrix maura) et les Lézards des murailles (Podarcis muralis) et à deux raies (Lacerta bilineata).
Parmi les mammifères, le Sanglier d’Europe (Sus scrofa) et le Chevreuil d’Europe (Capreolus capreolus) sont régulièrement vus, mais surtout la Loutre d’Europe (Lutra lutra) y est visible avec de la chance, surtout à la sortie de l’hiver.
Un site ornithologique de plus en plus réputé
En 2019, avant les travaux de restauration, 93 espèces d’oiseaux avaient été observées dans les gravières d’Argentat-sur-Dordogne mais depuis, les inventaires menés par la Ligue pour la Protection des Oiseaux du Limousin et une pression d’observation croissante ont permis de mieux connaitre l’avifaune du site. En 2020, le chiffre a atteint 120 espèces, et il a continué de progresser depuis. Un suivi après travaux a été réalisé en 2021-2022, et une synthèse ornithologique a été produite à la fin de l’année 2024, dans laquelle 195 espèces d’oiseaux sont recensées. Au 24 novembre 2025, plus 203 espèces avaient été notées au moins une fois dans la réserve.
Le site commence à être connu aux niveaux département et régional, et la diversité ornithologique devrait donc continuer à s’accroître, grâce principalement à quelques observateurs assidus, dont Dominique Testaert, qui s’y rend régulièrement et qui nous a aidés à rédiger cet article.
Des oiseaux nicheurs prometteurs, mais dont l’installation reste à confirmer
Le site est encore récent, mais quelques espèces nicheuses intéressantes y nichent ou y ont déjà niché. Le Petit gravelot (Charadrius dubius) s’y est reproduit peu après les travaux de renaturation, mais plusieurs échecs ont été constatés au cours des années suivantes, mais depuis au moins deux ans, il n’y a plus d’indices de reproduction.
Les gravières sont l’un des rares sites de nidification en Corrèze de l’Hirondelle de rivage (Riparia riparia), dont une colonie s’était installée alors que l’activité d’extraction était encore effective. Depuis 2017, la LPO et deux bagueurs assermentés ont montés un programme de baguage, suivant également les échanges d’oiseaux avec ceux de la colonie de la carrière d’Altillac, située à une dizaine de kilomètres en aval, le long de la Dordogne : 449 individus ont été capturés et bagués au total, la majorité étant des adultes. Le taux de recapture/contrôle est assez faible (entre 2 et 20 % selon les années). Des individus bagués dans la vallée du Rhône et en Espagne ont pu être identifiés.
En 2019, avant les travaux de réaménagement, la colonie de la réserve d’Argentat-sur-Dordogne comptait environ 80 individus. En 2020-2021, elle a atteint plus de 200 individus. Les années suivantes, le nombre a été fluctuant, variant de 50 à 150 individus. Plusieurs falaises ont été utilisées, et deux buttes de sable sont entretenues chaque année. Depuis deux ans, la colonie ne s’est toutefois pas réinstallée, et seuls quelques individus sont désormais de passage au printemps. Ce constat est le même pour la carrière d’Altillac, où l’espèce ne niche plus depuis trois ans.
Le Grèbe huppé (Podiceps cristatus) a tenté une reproduction en 2023, mais elle n’a pas abouti. Il reste toutefois régulier aux passages.
Le Martin-pêcheur d’Europe (Alcedo atthis) est nicheur, avec de deux à cinq couples, la proximité de la Dordogne favorisant leur dispersion et servant également de zone de pêche.
Le Cincle plongeur (Cinclus cinclus) n’est pas nicheur dans la réserve, mais il se reproduit le long de la Dordogne, et il est parfois visible parfois depuis le chemin qui longe la rivière. Il est également présent sur le long de la Maronne, qui se jette dans la Dordogne juste en aval de la réserve.
Il n’y a pas encore d’héronnières, mais une petite colonie (moins de cinq couples) de Hérons cendrés (Ardea cinerea) est installée à quelques kilomètres en amont, le long de la Dordogne. De nombreux Hérons cendrés, y compris des jeunes, sont régulièrement observés dans les gravières d’Argentat, ce qui pourrait laisser présager une installation future.
Les roselières ne sont pas encore assez développées pour permettre la nidification paludicole, toutefois le Bruant des roseaux (Emberiza schoeniclus) et le Râle d’eau (Rallus rallus) sont régulièrement observés : leur installation future serait possible si la surface de cet habitat devenait suffisante.
Des boisements sont surtout présents le long de la Dordogne, et ils accueillent un intéressante cortège de nicheurs, incluant les Pics épeiche (Dendrocopos major), épeichette (Dryobates minor), mar (Leiopicus medius), vert (Picus viridis) et noir (Dryocopus major), le Rossignol philomèle (Luscinia megarhynchos) et le Rougequeue à front blanc (Phoenicurus phoenicurus). Le Loriot d’Europe (Oriolus oriolus) et le Faucon hobereau (Falco subbuteo) sont nicheurs dans les environs.
Des buissons sont éparpillés sur l’ensemble de la réserve, et ils permettent la nidification du Tarier pâtre (Saxicola rubicola), du Bruant zizi (Emberiza cirlus) et l’Hypolaïs polyglotte (Hippolais polyglotta).
Des oiseaux migrateurs variés
La réserve départementale de biodiversité d’Argentat-sur-Dordogne est surtout intéressante pour la diversité de ses migrateurs au printemps et en automne. Des limicoles y font une halte en petit nombre, et ils ne restent souvent pas plus d’une journée. Les plus réguliers sont les Chevaliers culblanc (Tringa ochropus) et guignette (Actitis hypoleucos) et le Petit gravelot, mais la liste est longue et comprend les Chevaliers aboyeur (Tringa nebularia) gambette (T. totanus) et sylvain (T. glareola), l’Avocette élégante (Recurvirostra avosetta), le Combattant varié (Calidris pugnax), les Courlis cendré (Numenius arquata) et corlieu (N. phaeopus), l’Échasse blanche (Himantopus himantopus), l’Huitrier pie (Haematopus ostralegus) et même des raretés départementales comme le Phalarope à bec large (Phalaropus fulicarius) (en 2025) et le Bécasseau sanderling (Calidris alba) ou nationales, comme le Chevalier grivelé (Actitis macularius) (un le 23 octobre 2025).
Toutes les espèces européennes d’ardéidés ont déjà été observées, y compris le Crabier chevelu (Ardeola ralloides).
Au printemps, des canards de surface font parfois une halte, comme la Sarcelle d’été (Spatula querquedula).
Le passage des mouettes, des sternes et des guifettes est à surveiller. La Mouette rieuse (Chroicocephalus ridibundus) est la plus régulière, mais d’autres espèces ont déjà vues au moins une fois, comme les Mouettes mélanocéphale (Ichthyaetus melanocephalus), pygmée (Hydrocoloeus minutus) et tridactyle (Rissa tridactyla), les Guifettes moustac (Chlidonias hybridus), noire (C. niger) (quasiment annuelle) et même leucoptère (C. leucopterus) (une en 2024), les Sternes caspienne (Hydroprogne caspia) (deux données depuis 2022), Sterne caugek (Thalasseus sandvicensis) (en 2022), naine (Sternula albifrons) (en 2023) et pierregarin (Sterna hirundo) (quasiment annuelle).
La réserve peut également servir de halte migratoire ou de zone de chasse pour plusieurs rapaces, comme les Milans royal (Milvus milvus) et noir (M.migrans) ou encore le Balbuzard pêcheur (Pandion haliaetus), qui est régulièrement observé au printemps et en automne, aussi en été.
Les roselières sont petites, mais la Marouette ponctuée (Porzana porzana) a déjà été observée en migration (une en 2022), ainsi que la Rémiz penduline (Remiz pendulinus), les Rousserolles effarvatte (Acrocephalus sciparceus) et turdoïde (A. arundinaceus) ou le Bruant des roseaux.
Les boisements et buissons sont intéressants pour observer le stationnement des passereaux aux passages : parmi les espèces communes de gobemouches, hypolaïs, mésanges, fauvettes et pouillots, d’autres peu communes ou même rares ont déjà été notées, comme les Pouillots à grands sourcils (Phylloscopus inornatus) et brun (P. fuscatus) (un en novembre 2025) et la Fauvette mélanocéphale (Sylvia melanocephala).
L’hiver est une saison plus calme, mais des surprises sont possibles
Le Grand Cormoran (Phalacrocorax carbo) est un hivernant régulier (jusqu’à une centaine ensemble). Il n’y a pas de dortoir de laridés durant la mauvaises saison, mais des anatidés stationnent sur les plans d’eau, en petit nombre toutefois. Le Canard colvert (Anas platyrhynchos) est le plus régulier, mais la plupart des espèces ont déjà été notées, dont les Canards pilet (Anas acuta), souchet (Spatula clypeata) et chipeau (Mareca strepera), le Tadorne de Belon (Tadorna tadorna), les Fuligules morillon (Aythua fuligula) et milouin (A. ferina), la Macreuse noire (Melanitta nigra) (une en 2024) et le Harle bièvre (Mergus merganser).
Le Butor étoilé (Botauris stellaris) a été observé en automne et en hiver en 2019 et en 2023, malgré l’exiguïté des roselières.
Le Cincle plongeur est régulier en hiver le long de la Dordogne qui longe la réserve.
Une visite dans les gorges de la Dordogne est également recommandée
La visite de la réserve d’Argentat peut être combinée avec celle de la portion corrézienne des gorges de la Dordogne, riches en rapaces nicheurs, incluant le discret l’Aigle botté (Aquila pennata). Les sites favorables sont nombreux, comme les belvédères de Gratte-Bruyère, près de Sérandon, ou le Roc du Busatier, près de Marcillac-la-Croisille.
Une vidéo d’une conférence de Dominique Testaert sur les oiseaux de la réserve départementale de biodiversité d’Argentat-sur-Dordogne
Vidéo d’un conférence de Dominique Testaert sur les oiseaux de la réserve départementale de biodiversité d’Argentat-sur-Dordogne (Corrèze) le 16 octobre 2024.
Source : Association CITOYLIENS
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Compléments
À visiter sur le web
- La page de présentation de la réserve départementale de biodiversité d’Argentat-sur-Dordogne : www.correze.fr
- La galerie Flickr de Dominique Testaert sur les oiseaux de la réserve : www.flickr.com/photos/dominique_testaert/
- Le site web de la LPO Auvergne : www.lpo-auvergne.org
- Le site web collaboratif www.faune-auvergne.org
- le site web du Conservatoire des Espaces Naturels du Limousin : www.conservatoirelimousin.com
Ouvrages recommandés
- Petit Futé Corrèze
- Le Guide Ornitho de L. Svensson et al
Sources
- La vallée de la Dordogne. A la découverte de la biodiversité, réserve départementale de biodiversité d’Argentat. www.vallee-dordogne.com
- Département de la Corrèze. Réserve de biodiversité à Argentat. www.correze.fr
- LPO Limousin. Histoire des gravières. www.limousin-lpo.fr











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