L’importance du dégagement oculaire (DO) pour les jumelles compactes

Quel observateur de la nature n’a jamais souhaité trouver des jumelles compactes parfaites ? Il existe des marques « prestigieuses », comme Zeiss ou Leica, et d’autres moins. Robert Nadot a voulu acquérir une paire de jumelles compactes afin de pouvoir par exemple observer au détour d’un chemin un passereau posé sur un arbuste. Plusieurs visites de sites Internet lui ont permis de sélectionner quelques modèles. Il a finalement sélectionné des Nikon Sportstar III 10×25, notamment à cause de leur grand champ de vision. Mais à la réception de celles-ci, il a été déçu : il ne voyait presque rien lorsqu’il portait ses lunettes, alors que, sans celles-ci, l’image était correcte (abstraction faite d’une molette de mise au point peu fluide).
Où était l’erreur ? Après pas mal de recherches sur Internet, il est tombé sur la notion de dégagement oculaire (DO), ou, en anglais, « Eye Relief ». Dans cet article, Robert nous donne quelques conseils pratiques sur le sujet.